Combien de temps vit un cheval ? Découverte de leur longévité

Les chevaux sont des animaux fascinants et intrigants qui ont joué un rôle prépondérant aux côtés des hommes depuis des siècles. Lorsqu’ils sont en captivité, ils accompagnent les hommes durant la majeure partie de leur vie. Ensemble, ils développent une relation d’affection profonde l’un envers l’autre. Les équins interviennent aux côtés des humains dans de nombreux domaines, y compris celui du sport et des loisirs. Il y a lieu de se demander quelle est la durée de vie moyenne des chevaux ? De quels facteurs dépend leur longévité et que leur faut-il pour une vie saine ?

Les facteurs qui influencent la durée de vie des chevaux

Comme tout être vivant, la durée de vie des chevaux est conditionnée par plusieurs facteurs. Ceux-ci peuvent être d’origines externes ou internes, et affectent directement leur qualité de vie.

La génétique est le premier facteur responsable du temps de vie probable d’un cheval. En effet, les chevaux existent sous diverses races et par un processus de sélection naturelle, certains ont une prédisposition à vivre beaucoup plus longtemps que d’autres. Ils tiennent cela de leur lignée qui leur confère des gènes plus résistants. C’est le cas pour la race norvégienne Fjord qui peut atteindre les 35 ans.

La qualité des soins reçus permet aussi au cheval d’atteindre le maximum d’âge de sa lignée. Son hygiène de vie joue un rôle important. Il lui faut donc un abri propre et confortable. Il doit être vacciné et régulièrement suivi par le vétérinaire.

La nutrition joue également sa partition dans l’espérance de vie du cheval. Il lui faut une alimentation appropriée avec beaucoup d’apports nutritifs. Elle doit être variée en vitamines et en glucides bien équilibrée. L’animal doit éviter tout ce qui est toxique pour sa santé.

Enfin, l’environnement est le dernier facteur externe qui incidence la longévité du cheval. Bien que certaines races se montrent très résistantes, car elles proviennent d’un milieu climatique rude, il n’en demeure pas moins que leur comportement est modifié. Le milieu de vie doit être adapté aux besoins et au caractère de l’animal. Il doit lui permettre de se reposer, de faire des activités physiques, de se protéger des microbes et du stress.

La préparation au long cours : parallèle entre équitation et MMA

Les chevaux sont utilisés dans le domaine du sport comme dans l’équitation. Pour cette discipline, il leur faut une préparation physique ardue et ils doivent intégrer les éléments de stratégie et d’anticipation. Cela s’apparente un peu aux critères exigés au MMA. Pour ces différents sports, il n’y a pas que la force qui est déterminante. Il faut surtout travailler l’endurance, la technique et la tactique.

Pour le cheval et le combattant UFC, leur entraînement est programmé sur plusieurs jours successifs. Ils réalisent des travaux d’endurance et une surcharge progressive afin de suivre un rythme d’évolution précis. Ils augmentent ainsi de façon modérée leur marge de progression et leur potentiel. Cette préparation physique est le verrou qui détermine l’atteinte des objectifs. Toutefois, il y a le volet mental qui joue sur l’état d’esprit du cheval comme pour le combattant. Ils ont besoin de motivation et de mise en confiance.

En l’équitation, il faut suivre une stratégie pour chaque circuit et non se lancer dans le tas. C’est un conseil qu’on donne souvent aux combattants de MMA et d’UFC. La stratégie consiste à étudier les obstacles et à déterminer la meilleure approche pour les surmonter. Ce sera selon les forces et les faiblesses du cheval qu’un plan d’action sera choisi. C’est exactement la réaction qu’adoptent les combattants face à leurs adversaires.

En l’équitation, il est possible de prévoir les événements en étudiant minutieusement le comportement et l’environnement du cheval. Il suffit de trouver des sources d’informations fiables afin d’identifier les facteurs à risque (l’état du cheval, son âge). Cela permet aux parieurs de faire leurs pronostics en connaissance de cause. En effet, lorsque le cheval devient de moins en moins performant, sa cote diminue et il reçoit moins de mises. Vous pouvez faire vos pronostics ici et parier sur les événements de votre choix.

Les signes de vieillissement chez le cheval et leur gestion

Chez les chevaux, le processus de vieillissement est naturel et tout aussi manifeste que chez les hommes. Les signes peuvent être décelés à travers leur état physique et leur comportement.

Sur le plan physique, le vieillissement du cheval se traduit par une importante perte de poids due à la fonte musculaire. Cela laisse des rides apparentes et naturellement l’animal devient moins endurant et lent. L’ouïe et la vue régressent peu à peu. Le cheval ne répond plus efficacement à l’appel. On note l’apparition récurrente des maladies, car le système immunitaire devient faible. La cicatrisation des blessures prend du temps et l’animal devient très sensible aux variations de température. À cela s’ajoutent l’affaissement du dos et la perte des dents.

Les signes comportementaux d’un cheval qui vieillit sont l’augmentation :

  • du sommeil,
  • de la fatigue,
  • de l’irritabilité,
  • de l’anxiété,
  • de la dépression,
  • de la douleur, etc.

Parallèlement, on note une baisse de l’activité, le cheval devient moins actif. On le sent moins curieux que d’habitude. Il reste à l’écart et ne développe aucun engouement pour les besoins primaires (appétit, soif, libido).

Pour vous occuper d’un cheval âgé, mettez l’accent sur l’alimentation, l’environnement et les traitements médicaux. Donnez-lui à manger à des moments précis de la journée pour que son corps s’habitue à cette nouvelle tendance. Ces repas doivent être riches, légers et faciles à mâcher. Il lui faut de l’eau fraîche et propre en abondance. Le cheval âgé doit être mis à l’écart des autres, dans un abri chauffé. Son hygiène doit être irréprochable et prévoyez des visites de routine avec le vétérinaire pour traiter ou prévenir chaque problème.

Les races de chevaux et leur espérance de vie

Chez les chevaux, il apparaît clairement une différence de l’espérance de vie qui est propre à chaque race. Bien que la nutrition, l’environnement et les soins influencent la longévité des équidés, ils ne garantissent pas une durée de vie au-delà de la limite de la race. Le tableau ci-après récapitule des données statistiques et des traits caractéristiques sur 5 races de chevaux bien connues.

OriginesTraits caractéristiquesTaillePoidsEspérance de vie
FjordNorvègeRobe dun, avec une crinière bicolore et une raie de mulet1,35 m à 1,50 m au garrot400 et 500 kg30 ans
Pur-sang anglaisAngleterreRobe unie, souvent alezane, bai ou noir1,55 m à 1,75 m au garrot450 à 550 kg25 ans
MustangAmérique du NordUne encolure arquée, un dos droit, une croupe ronde1,35 m à 1,55 m au garro350 à 450 kg25 ans
Pur-sang arabeMoyen-Orientune tête en forme de cœur, un chanfrein concave, des naseaux larges, une encolure arquée,1,40 m à 1,55 m au garrot350 et 450 kg30 ans

L’impact de l’activité et de l’entraînement sur la santé équine

Grâce aux efforts physiques réguliers et aux entraînements, les équidés renforcent leur condition physique à travers la sollicitation de leurs muscles. Les exercices mettent à l’épreuve le cœur, les poumons, les os et les articulations. Ils renforcent le système immunitaire du cheval ainsi que son système cardiovasculaire. L’équin devient moins sujet aux maladies comme l’obésité, l’arthrose et les coliques. Parallèlement, les risques de blessure, de fatigue et de stress diminuent. La durée de vie du cheval devient naturellement plus longue.

L’impact de l’activité et de l’entraînement sur la santé équine est similaire à celui des athlètes de combat. Ceux-ci jouissent d’une excellente endurance et longévité.

Conclusion : Préserver la qualité de vie des chevaux à travers les âges

La santé des chevaux mérite une attention particulière compte tenu de leur rôle quotidien. Comme tout être, ils ont besoin d’une qualité de vie saine. Il est donc important de prévenir toute forme de maladie pouvant nuire à leur santé. Vous devez bien les alimenter et les faire suivre par un vétérinaire. Ils doivent être constamment au contact de l’air frais et pratiquer des activités stimulantes. En vivant longtemps, ils profitent plus de l’attention, du bonheur et des moments de complicité.

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